La douane... (Hétéro) + Et mon cadeau ?? (Twincest) suite

HETERO, oui c'est assez rare pour que je le mette en gros, en gras, et en souligner lol.

Bon alors je précise, c'était pas dans mes habitudes de faire dans ce genre de choses, moi c'est que du yaoi normalement, mais bon, à la demande mon mari je lui en ai fait un... Voici ce que ça donne...

Par pitié, soyez indulgente.

***

Leur longue tournée venait de s'achever après un concert simplement magique, avec feux d'artifice et lâché de confetis. Les quatre musiciens étaient fatigués, mais tellement heureux. Ils venaient de fermer leurs valises et montaient à présent dans le van qui les emmèneraient à l'aéroport.

Tous avaient un sourire joyeux et mélancolique à la fois de collé au visage. Chacun avaient encore les images de leur dernier concert en tête et rêvaient de leur prochaine tournée et de leurs futures chansons.

Bill chantonnait pendant que Gustav donnait le rythme en frappant ses mains sur ses jambes. Georg regardait par la vitre les ombres qui défilaient devant ses yeux. Seul Tom avait sombré dans les bras de morphée à peine quelques minutes après être monté dans le véhicule.

Il faisait sans doute un beau rêve à l'entente des petits gémissements qu'il poussait de temps en temps, sûrement à penser à l'une de ses anciennes conquêtes ou à fantasmer sur celle à venir. Oui, Tom était un tombeur et il assumait totalement son côté macho. Il aimait le sexe et avait comme on dit, une fille dans chaque port.

C'est vrai que son physique loin d'être ingrat et la renommée du groupe, maintenant mondiale, facilitaient grandement ses recherches de compagnes d'un soir. Dès fois, l'attraction qu'il provoquait sur la gente féminine l'énervait quelque peu. En effet, les parties de chasses avaient changées de règles, si bien que maintenant, c'était lui qui était la proie. Remarque, cela lui facilitait la tâche. Il n'avait plus qu'à choisir dans le lot celle qui lui plaisait le plus pour passer la nuit... Mais cela commençait à le blaser.

Il se lassait de ces parties de jambes en l'air trop faciles, trop monotones, trop identiques. Il se lassait de ces filles toutes semblables les unes aux autres, toutes envieuses de son argent, toutes attirées par son succès.

Il en avait profité c'est vrai, mais il c'était calmé. Cela faisait quelques mois qu'il n'avait pas eu la moindre relation hormis avec la plus fidèle d'entre toutes ces aventures... Sa main.

Il espèrait encore trouver la fille, celle qui l'aimerait pour celui qu'il est et non pour celui qu'il montre à la télé, celle qui l'aimerait tel qu'il est et non comme elle voudrait qu'il soit... Pour lui et non pour son argent. Il espèrait, mais n'y croyait plus vraiment non plus.

A partir de 14 ans il c'était tristement rendu compte que la nature des gens est pourri et sinistre. Aujourd'hui il fêtait ses 20 ans avec son frère, son jumeau, Bill, et il se prenait des fois à l'envier.

Il se disait souvent que les relations entre mecs étaient beaucoup plus simples et moins prises de têtes, mais il aimait trop les femmes pour s'en passer et rien que de s'imaginer avec un autre homme lui donnait la nausée. Son frère ne le dégoûtait pas, bien sûr, mais ils n'étaient pas pareil, c'est tout.

Jamais Bill ne s'était permit de ramener l'un de ces coups d'un soir, ne sachant pas vraiment comment son frère allait réagir. Jamais Tom n'avait présenté la moindre de ses conquêtes à son jumeau, pour les mêmes raisons.

Ils étaient jaloux et possessifs dès qu'il s'agissait de l'autre, alors ils évitaient tout ce qui pourrait attiser la colère, ou la gêne, ou encore la peine de l'autre.

Une heure après le départ de l'hôtel, le van s'arrêta enfin devant l'aéroport. Bill secoua tendrement son frère pour que celui-ci se réveil, non sans un grognement de mécontentement. Les valises furent emmenées et les garçons avançaient dans le hall. Le calme régnait autant que possible dans un tel endroit. Ils marchaient tranquillement, Tom encore vaporeux de sa petite sieste, lorsque le petit groupe se fit arrêter par... La douane. Là c'était une première. Jamais on ne leur avait fait ce coup là.

Le dreadé avait écarquillé les yeux, cela faisait des lustres qu'une telle chose n'était plus arrivée. Leur renommée était telle qu'ils n'étaient en général plus embêtés par ce genre d'évènement relativement mauvais pour leur image.

Leur manager, David, faisait tout son possible pour les faire passer rapidement, mais les jeunes personnes en uniformes en avaient décidées autrement. Ils étaient trois, un garçon et deux jeunes filles purement bandantes. Tom louchait de manière totalement voyante sur la plus grande des deux. Brune, fine et élancée, des yeux verts magnifiques et un sourire qu'il soupsonnait lumineux. Il n'avait malheureusement pas l'occasion de le voir et en d'autres circonstances, il aurait sûrement tenté sa chance, mais là, il était seulement dégoûté d'être retardé... Ils avaient un avion à prendre et un anniversaire à fêter.

Tom souffla sûrement trop fort car l'une des deux douanière l'interpella, la brune, la plus jolie des deux.

Brune : Vous qui avez l'air si antousiaste, nous allons commencer par vous.
Tom : Pardon ? Commencer quoi ?

L'autre douanière prit la parole pour la première fois. Une voix tellement sexy que le blond aurait pu en bander rien qu'à l'entendre, mais il était beaucoup trop énervé pour ça. Elle était un peu plus petite, mais gardait une taille tout à fait respectable avec un minimum de 1m70 tout de même et de long cheveux blond... Enfin sûrement long vu la taille de son chignon.

Blonde : La fouille monsieur, veuillez nous suivre.
Tom : Non, mais ça va pas la tête, vous êtes des grandes malades.
Brune : Faites attention à vos propos s'il vous plait.
Tom : David ! Ils ont pas le droit de faire ça ! N'est-ce pas ?
David : Je... Heu... Fais ce qu'ils te disent j'appelle les avocats. Je fais au plus vite.
Tom : Non c'est une plaisanterie ?!
Brune : Suivez-nous maintenant.
Tom : Prenez mon frère plutôt, il adore s'exciber.
Bill : Vas-y salaud, reste dans ta merde sans emporter les autres.
Le douanier : Tout le monde y passera de toute façon alors dépêchez-vous.
Tom : Non, mais j'y crois pas...

Tom se décida à contre coeur à suivre ses deux jeunes femmes, pourtant habituellement, il n'aurait pas dit non à un petit trio, mais là... Il jeta un coup d'oeil sur David qui était partit s'isoler un peu plus loin pour appeler. Ils entrèrent tous les trois dans une petite pièce juste meublée d'une table en bois et des chaises.

Brune : Déshabillez-vous.
Tom : C'est pour vidéo gag, c'est ça ?
Blonde : Non, monsieur. Nous avons reçu un appel et nous sommes obligés d'intervenir. Veuillez coopérer.

Tom ne cessait de soupirer et souffler nerveusement. Il commença par ôter sa casquette et son sweet qu'il posa sur le dossier d'une des chaises. Les jeunes filles attendaient patiemment, enfin presque car, Tom était relativement lent. Se déshabiller dans une telle situation n'était pas dans ses habitudes.

Brune : Le bandeau aussi.

Le dreadé ne put s'empêcher de pester en s'exécutant. Il retira ses tee-shirt sans relever les yeux sur les deux jeunes femmes, dévoilant un corps finement musclé et à la peau halée. Son regard fut cependant attiré par quelque chose. Les personnes en face de lui bougeaient et cela l'intriguait. Il leva les yeux et fut stoppé net dans ses mouvement, presque choqué. Il reprit le file de sa respiration qui c'était coupée d'elle même.

Tom : Putain, la vache. Il se passe quoi là ?

Les deux jeunes filles rigolèrent. La blonde était en sous-vêtement tandis que l'autre défaisait la ceinture de son pantalon.

Blonde : Moi c'est lou.

Lou c'était avancée vers lui d'un pas félin. Tom avait plus que jamais l'impression d'être la proie, mais avec de telle prédateur, cela en devenait un plaisir. La blonde qui c'était défait du reste de son uniforme se rapprocha également et susurra à l'oreille du dreadé.

Brune : Moi c'est Lise.

A peine eut-elle fini de parler que sa langue se fourra dans l'oreille de Tom. Lou quant à elle attrapa ses lèvres dans un baiser torride. Le dreadé sentit une main dans son pantalon, ne sachant absolument pas qui en était la propriètaire, mais celle-ci s'affairait déjà à faire gonfler sa virilité.

Tom : C'est quoi ce cirque ?
Lou : Ton cadeau d'anniversaire de la part de tes potes. Alors profites.
Tom : J'hallucine.

Tom avait relâché toute la pression d'un coup et consentit enfin à déposer ses lèvres, ainsi que ses mains, sur les deux jeunes filles. Oui, il comptait en profiter... On ne refuse pas un cadeau, ça ne se fait pas...

La langue de Lou glissa le long de la mâchoire de Tom, laissant naître des frissons sur son cou, puis longea ses clavicules, zigzagua entre ses tétons, retraça le contours de ses abdos et continuait à descendre.

Lise était passée derrière lui et se frottait lascivement contre son corps, ses mains s'activant dans des caresses aériennes jusqu'à rencontrer la ceinture de son pantalon qu'elle défit rapidement, laissant tomber le vêtement à ses chevilles. Ses doigts fins se fraillèrent un chemin jusque dans son boxer déjà humide de désir. La brune empoigna le sexe dressé à pleine main, arrachant un gémissement à Tom.

Lou passa ses mains sur les fesses du dreadé, directement sous le boxer et le fit descendre en même temps que ses baisers. Elle se retrouva bien vite face au membre de Tom, caressé par Lise. Elle le lécha tout de même sur toute sa longueur. La brune continait ses mouvements et Lou léchait le gland de Tom, l'englobant parfois de sa bouche, ses mains caressant ses cuisses, ses fesses et son torse, enfin tout ce qu'elle pouvait.

Tom sentit un froid dans son dos, Lise était partie. Des frissons coururent le long de sa colonne, jusqu'à remonter dans son cou, lui faisant inconsciemment rejeter la tête en arrière l'espace de quelques secondes. Il cru défaillire lorsqu'il rouvrit les yeux, les deux jeunes filles accroupies devant lui et se fut encore pire lorsque deux langues se mirent à jouer avec son sexe.

Tom laissa échapper un juron en voyant leurs langues s'enmêler entre elles et sur son sexe, c'était divin. Il était complètement soumit à leurs caresses et ses gémissements incitaient les demoiselles à continuer. Il ne se promettait pas de tenir des heures sous cette douce torture qu'elles lui infligeaient. C'était tellement bon que ses mains se crispaient dans leurs cheveux.

Lise le prit en bouche tandis que Lou remontait en parsemant son corps de milliers de baisers jusqu'à capturer ses lèvres. Un baiser passionné débuta. La brune finie également par se relever et repoussa Tom vers une chaise. Elle le fit litéralement tomber dessus et s'assit à califourchon sur lui et après avoir prit les précautions d'usage, s'empala sans douceur sur son sexe... Un mouvement brusque , mais Oh combien agréable pour le dreadé.

La jeune fille se déhanchait impulsivement sur lui à une allure déjà éffrénée. Lou se positionna derrière elle, sur la table et plaça sa main sous le menton de sa collègue pour lui faire pencher la tête. Tom ne put décoller ses yeux du spectacle qu'elles lui offraient. Deux filles en train de se rouler le patin du siècle, c'était plus qu'excitant. En fait, tout ce qui se passait l'excitait au plus au point...

Les allers et venus sur son sexe, les deux filles qui s'embrassaient devant lui, les mains qui le touchaient et... Oh mon dieu... Là s'en était presque trop pour Tom. Lou se caressait juste devant ses yeux. S'en même s'en apercevoir, il remplaça les doigts de la blonde par les siens. Les gémissements emplissaient la pièce et la chaleur devenait étouffante.

Lise s'empara de la bouche de Tom une nouvelle fois, mais beaucoup plus violemment cette fois. Elle était proche, très proche même et cela se sentait dans ses à-coups saccadés... Tout comme leurs respirations. Le dreadé caressait le corps chaud et humide de sueur de Lise et pénetrait Lou de ses doigts, la faisant haleter de plaisir.

Lise atteignit l'orgasme la première dans un cri plus sonore que les autres et après quelques secondes, laissa la place à son amie. Cela ne dérangeait pas Tom puisque lui-même n'avait pas encore jouit. Il commença à pénétrer la blonde, ses long cheveux détachés frottant presque sur les cuisses du dreadé. Il en sourit même dans le baiser qu'ils échangeaient sous l'effet des quelques chatouillis qu'il ressentait.

Cette fille lui faisait un peu moins d'effet, dans le sens qu'elle n'était pas vraiment son style. Elle était très belle, mais préfèrait de loin la brune. Cependant il ne crachait pas sur cette partie de jambes en l'air, loin de là.

Il passa ses mains sous les fesses de Lou et la souleva, la portant jusqu'à la plaquer contre le mur le plus proche pour la pénétrer sauvagement. Quelques minutes plus tard, ils crièrent d'une même voix, terrassés par l'orgasme qu'il les parcourait.

Le dreadé relâcha la jeune fille dans un dernier baiser avant de se diriger vers ses habits.

Une chose était sûr, il s'en rappelerait de ses 20 ans.

non, le seul truc qu'il a lu c'était l'OS "action ou vérité ?" et il y avait juste un tit bisous dedans et il ma dit ( enfin lancé un défi serai plus juste lol) " si tu écris un truc hétéro, je le lirais" alors voilà c'est chose faite.

Je compte bien le faire venir petit a petit au twincest... J'y arriverais lol.

En tout cas, merci, je suis contente que ça vous ai plus.

MDR ! Tu peux toujours essayer lool Il aime tes écrits au moins lol

Il m'a dit que c'était mort, mais je suis en général trèèèèèèèèèèèèèèès tétu...

Alors, pour celle que ça intéresse, il y aura une suite à cette OS qui sera un peu moins hétéro... Si vous voyez ce que je veux dire 8D

arf, je suis démasquée, c'était si evident que ça ??? lol

la suite... Pas encore corrigée désolé.

***

Et mon cadeau ??

Tom était sortit de la petite pièce un sourire aux lèvres. Ses deux amis riaient, content de leur cadeau qui avait l'air d'avoir plû au dreadé. Cela avait été une surprise totale car ni Bill, ni même le reste de l'équipe n'avait été prévenu, sachant pertinemment qu'ils auraient tous refusé.

David était hors de lui, pensant déjà à la mauvaise pub que cela ferait au groupe si l'histoire venait à s'ébruiter. Il avait passé un savon digne de ce nom à Georg et Gustav qui n'avaient cessés de rire discrètement. Bill avait attendu, les bras croisés sur sa poitrine et assis sur un des sièges inconfortable de l'aéroport, pendant plus d'une heure que son frère ressorte. Il été mécontent, il était jaloux, il était furieux... Il savait que son jumeau en avait plus que profité et qu'il soit juste à côté de lui à s'envoyer en l'air le bouffait.

Il savait mieux que quiconque qu'il n'avait pas à réagir comme ça, qu'il ne devait pas réagir comme ça, mais c'était plus fort que lui. Il avait passé plus de quarante minutes à battre le rythme éffréné que lui imposait sa colère avec ses jambes et à se mordre l'intérieur des joues. Ses deux amis étaient même venus s'excuser, ne se doutant pas qu'il le prendrait aussi mal.

Quand Tom était sortit suivit des deux jeunes filles, bras dessus bras dessous, le brun l'avait fusillé du regard et bien vite le dreadé c'était écarté des demoiselles, leur disant un dernier au revoir avant de rejoindre tout le petit groupe qui l'attendait. David était furieux, pas contre Tom, enfin pas seulement. Bill était froid et Gustav et Georg ne cessait de demander des informations au blond, ce qui ne faisait évidemment qu'attiser encore davantage la colère du brun.

Ils montèrent tous dans l'avion et les jumeaux se retrouvèrent comme toujours l'un à côté de l'autre. Tom avait voulu prendre la main de son frère, mais celui-ci l'avait retiré sèchement.

Bill : Garde tes mains, je sais pas où elles ont traîné.
Tom : ... Je me suis lavé les mains Bill...
Bill : M'en fou... Me touche pas.

Tom ne put réprimer un soupir. Il détestait quand Bill était comme ça.

Tom : Aller, je sais que t'es pas rassuré en avion.
Bill : Fou moi la paix.
Tom : Fais pas ta peste s'te plait.

Le brun ne répondit rien, contentant de se décaler un peu plus pour tourner le dos à son jumeau. Le reste du vol continua sur le même registre... L'indifférence. L'atérissage fut un peu mouvementé, mais Bill, bien que paniqué, ne dégna pas faire appel à son frère.

Le trajet qui séparait l'aéroport de leur maison leur parut interminable. Jamais ils ne s'étaient fait la tête aussi longtemps, surtout pour une broutille pareille. Tom soufflait bruyament, il avait du mal à supporter Bill dans ces conditions. Il n'avait rien fait de mal après tout, juste profité de son cadeau d'anniversaire.

Du seul coup, alors que le brun ouvrait la porte de la maison qu'ils partageaient, Tom écarquilla les yeux.

Tom : C'est parce que t'as pas encore eu de cadeau de la part des GG que tu tire la tronche ?
Bill : N'importe quoi. Je m'en fou de ça.

Ils posèrent leurs sacs dans le salon, un peu trop fatigués pour les ranger pour le moment et montèrent en même temps dans les escaliers.

Tom : Bah alors, c'est quoi ? Dis moi.

Bill ne répondit rien et rentra dans la salle de bain. Il sortit sa trousse de toilette, son démaquillant, un coton, enfin, tout le nécessaire pour se défaire de son masque de star. Il n'avait bien sûr pas fermé la porte, jamais ils ne fermaient les portes à clef lorsqu'ils étaient ensemble et c'est le plus naturellement du monde que Tom rentra à son tour dans la pièce.

Le dreadé commença à se défaire de ses habits sans plus se soucier de son frère. Ils en avaient l'habitude. Il se retourna un peu lorsqu'il sentit le regard insistant de son double se poser sur lui.

Tom : Quoi ?
Bill : Elles auraient pu éviter de te laisser des traces quand même.
Tom : Hein ?
Bill : T'as des griffures dans le dos.

Le dreadé se tourna dos au miroir pour vérifier et il constata les quelques égratignures que celui-ci portait.

Tom : Hm. Tant pis, ça partira vite.

Tom se défit du dernier de ses vêtements et rentra dans la douche. Il resta de longues minutes ainsi, juste en se délassant sous l'eau chaude, avant qu'il ne daigne se laver... Paresseusement.

Bill : Tom ?
Tom : Hm ?
Bill : Je... Non, laisse tomber.
Tom : Bah si, vas-y dis moi.
Bill : Est-ce que je peux venir avec toi ?
Tom : Sous la douche ?
Bill : Tu vois je t'avais dit... Laisse tomber.
Tom : Non... Viens, ça me dérange pas.
Bill : T'es sûr ?
Tom : Puisque je te le dis.

Tom n'en était en réalité pas vraiment sûr. Cela faisait maintennat de nombreuses années qu'ils ne se lavaient plus ensemble et qu'ils ne dormaient plus dans le même lit, mais si Bill en ressentait le besoin, alors comme d'habitude, Tom céderait. Il était inconcevable pour lui de repousser son frère, de le délaisser et de lui refuser quoi que se soit.

Bill se déshabilla lentement, pas encore vraiment sûr non plus que se soit réellement ce qu'il souhaitait. Il fut cependant prit de court lorsque Tom lui parla.

Tom : Tu te dépêches, j'ai bientôt finit moi.

Le brun finit de retirer ses vêtements et s'engouffra timidement dans la cabine. La tête baissée, il n'osait franchement regarder son frère, une gêne s'était installée entre eux depuis toutes ces années sans intimité.

Tom : Alors p'tit frère, tu me dis pourquoi t'as fait la tête toute la journée ?
Bill : Non, je... C'est, pour rien.
Tom : Allez arrête, dis moi.

Tom était face à son frère et celui-ci avait l'impression de rougir un peu plus de seconde en seconde. Il ne comprenait pas trop ce qui lui arrivait depuis le matin, jamais il n'avait été aussi jaloux, aussi possessif, aussi peste. Le dreadé posa sa main sur la joue de son frère pour le forcer à le regarder. Ses gestes étaient remplit de douceur et son regard de tendresse.

Tom : Alors ?
Bill : Tu... M'as même pas souhaité mon anniv.

Bill se sentit rougir définitivement jusqu'aux oreilles en disant ces mots. Tom avait légèrement sourcillé, mais afficha un large sourire malgré tout. Il passa ses bras autour de son frère avant de resserer son étreinte. Leurs corps collés ne laissaient même plus passer l'eau entre eux. Un frisson parcourut tout le dos de Bill à ce contact... Il était nu dans les bras de son frère.

Même en cherchant dans ses souvenir, il n'était pas sûr qu'une telle se soit déjà produite. Malheureusement, il ne put empêcher un gémissement de bien-être de sortir de sa bouche en sentant les douces caresses de son jumeau sur son dos, partant de ses reins, remontant le long de la colonne jusqu'à venir se perdre dans son cou.

Tom ria doucement en entendant l'effet qu'il produisait sur Bill. Il pencha légèrement sa tête, jusqu'à venir effleurer de sa bouche son oreille et lui murmura tout contre.

Tom : Joyeux anniversaire tit frère.
Bill : Toi aussi grand frère.

Ce fut bien inconsciemment que Bill remonta ses bras dans le dos de son double pour le resserer encore davantage contre lui. Il sursauta presque en sentant la virilité de son frère contre lui, mais ne se recula pas pour autant. Cependant, Tom, lui se sépara de son frère et laissa une distance beaucoup trop grande au goût de Bill, venir s'immiscer entre eux.

Il baissa la tête en se mordant un peu la lèvre, il aurait voulu que ce moment dure plus longtemps et que cette sensation de chaleur ne l'englobe intégralement. Il se sentait triste sans trop savoir pourquoi.

Le brun eut un hoquet de surprise en sentant le froid sur son torse. Il écarquilla les yeux en apercevant les mains de son jumeau déjà en train de faire mousser le savon sur sa peau, frottant chaque parcelle de peau qui s'offrait à lui le plus tendrement du monde.

Les mains montaient et descendaient doucement, retraçant les abdominaux naissant et massant les épaules contractées par le stress de cette journée. Bill se laissa aller à toutes ces attentions, profitant de chaque contact et suivit le mouvement lorsque Tom poussa sur ses épaules pour le retourner. Il massait a présent tout son dos en de amples caresses. Le brun ronronait presque de plaisir.
Il sursauta cependant lorsqu'une légère tape sur ses fesses le ramena à la réalité.

Tom : Tu peux finir tout seul je pense.
Bill : Nan !

Tom sourit devant l'air enfantin qu'adoptait son frère qui lui faisait de nouveau face, posant son front sur son épaule.

Bill : Ca faisait longtemps qu'on avait pas été aussi proches, ça me manque.
Tom : On a déjà été aussi proches ?
Bill : Pas depuis enfant.
Tom : Hm. Aller je sors moi.

Sans plus de cérémonie, le blond se retrouva hors de la cabine de douche, sans s'appercevoir une seule seconde du trouble que cette étreinte avait fait naître chez Bill. Il se sécha bien vite et enfila son boxer avant de ressortir de la pièce.

Le brun, sans trop savoir pourquoi, se mit à pleurer, ne comprenant pas la tristesse qui l'engloutissait totalement. Les sanglots faisaient tressauter ses épaules et il plaqua ses mains contre son visage pour étouffer ses plaintes.

Au bout de plusqieurs minutes, il se calma et finit de se laver lentement, repensant sans cesse aux mains de son jumeau sur son corps. Jamais il ne s'était sentit aussi bien, aussi complet, en totale osmose avec une autre personne. Jamais les doigts de Tom n'avaient frôlés son corps avec autant de sensualité, autant d'intimité.

Il consentit à sortir de sous la douche en sentant l'eau devenir de plus en plus froide, signe que le ballon avait épuisé sa réserve. L'instant d'après il était séché et en sous-vêtement et se dirigeait vers la chambre de son frère d'un pas mal assuré.

Il s'aprettait à à frapper à la porte quand il entendit le son de la guitare emplire la maison d'une douce mélodie. Il retint sa main contre sa poitrine et hésita, qu'arriverait-il de bien s'il allait le voir dans cet état ? Il l'ignorait, mais ne put s'empêcher de baisser la poigner pour s'engouffrer dans la pièce.

Tom le regarda un peu surprit, mais lui sourit et l'invita du regard à venir s'asseoir à côté de lui. Bill fit quelques pas avant de se stopper au beau milieu de la chambre,prêt à pleurer de nouveau. C'était plus fort que lui. Il sentait que quelque chose n'allait pas, qu'il ne devait pas venir, qu'il ne devait se rapprocher encore, mais il en avait envie.

Le dreadé reposa sa guitare et vint prendre son jumeau dans ses bras sans se poser de question. Il le calina tendrement, le berçant par de lent mouvement et frottant son dos de ses mains chaudes.

Tom : Qu'est-ce qui a à la fin ? Bill, dis moi, je t'en pris.

Le brun ne pouvait parler, sentant que s'il ouvrait la bouche un flot involontaire de parole et de sanglot s'échapperaient en même temps. Les larmes menaçaient déjà de couler à nouveau de ses yeux, alors il les ferma du plus fort qu'il put.

Tom était paniqué. Il voulait l'aider, mais ne savait plus quoi faire. Il attira son frère jusqu'à son lit où il le fit s'allonger, collant déjà son corps contre le sien et ramenant les couvertures sur eux. Ils avaient besoin de recréer un cocon de douceur et de sécurité comme lorsqu'ils étaient enfants. Tom savait juste ça.

Le blond attendit de longues minutes en silence que son frère veuille enfin lui parler, continuant sans cesse ses caresses dans son dos, descendant jusqu'à ses reins, remontant jusque dans ses cheveux.

Les frissons naissaient tout le long du passage des doigts de Tom, provoquant quelques petits gémissements de la part de Bill. Les sanglots se calmaient peu à peu, mais le brun n'osait toujours pas parler. Peut-être par peur de rompre l'instant présent.

Tom repoussa une mèche brune de devant les yeux rouges de son frère, l'interrogeant du regard. Bill savait que le temps allait venir où il devrait s'expliquer, mais il ne savait pas vraiment lui-même ce qui lui arrivait.

Bill : Je... Désolé.

Il baissa la tête honteux de se montrer si faible. Le blond caressa son visage de sa main et le força délicatement à le regarder.

Tom : Tu n'as pas à l'être. Tu as le droit de craquer parfois. J'aimerais juste comprendre.
Bill : Je crois que... Je suis juste trop... Jaloux.
Tom : Jaloux ? De quoi ?

L'androgyne pour le coup rougit violemment. Comment Tom allait-il le prendre ? Il angoissait, mais ne pouvait sûrement plus revenir en arrière, n'en avait peut-être même pas envie.

Bill : De.. Ces filles.

Tom n'était pas sûr d'avoir bien comprit tellement Bill avait étouffé ses mots. Il écarquilla les yeux en sentant qu'il avait pourtant vu juste.

Tom : Tu n'as pas être jaloux de ces filles Bill, elles ne sont rien pour moi et je resterais toujours ton frère, je serais toujours prêt de toi quoi qu'il arrive. Tu peux me faire confiance.
Bill : Tu ne m'as rien offert pour notre anniversaire.

Tom pensa très fort « toi nnon plus », mais se souvint que si, Bill lui avait même fait un très beau cadeau... Une chanson.

Tom : Oh, je... Tu voudrais quoi ?
Bill : Je voudrais faire l'amour avec la personne que j'aime le plus au monde.

Le brun se cacha la bouche. La phrase était sortie toute seule, irréfléchie et brut de sentiments. Son coeur avait parlé pour lui.
Tom avait sourit à cette réaction.

Tom : Et qui est cette personne ?
Bill : Qui est la personne que tu aimes le plus au monde toi ?
Tom : C'est t...

Tom c'était arrêté dans son élan, comprenant seulement maintenant ce que son jumeau essayait de lui avouer. Jamais il n'aurait pu imaginer une chose pareil, même pas l'espace d'une fraction de seconde. Il se mordit la lèvre, ne sachant pas vraiment comment réagir. Bill, plus que gêné, sauta presque hors du lit pour se sauver.

Bill : Oublies s'il te plait.

Le brun n'eut cependant pas le temps d'aller bien loin que Tom lui attrapa le poignet, le forçant à revenir dans ses bras. Bill tentait de se défaire de cette étreinte, mais son frère ne lâchait pas prise, la resserait même autour de son corps.

Tom : Chut, calme toi s'il te plait.
Bill : Lâche moi, je suis un monstre, laisse moi m'éloigner de toi, je t'en prie. Je te promets de ne jamais plus penser à ça, s'il te plait, oublies ce que je viens de dire, pitié.

Bill se débattait tant bien que mal, mais le blond était plus fort, il l'avait toujours été. Il pleurait comme jamais Tom ne l'avait vu pleurer et cela, le dreadé ne pouvait pas y rester insensible. Pour que cela cesse, pour le calmer, pour lui donner une partie de ce qu'il désirait... Il posa ses lèvres sur les siennes en un contact doux et rassurant.

Bill c'était figé sous la surprise et sans même y réfléchir entre-ouvrit la bouche pour caresser son frère de sa langue. Tom aurait pu être dégoûté, mais cette sensation première fit vite place à autre chose ; quelque chose de tendre. Il acueillit donc la langue du brun dans sa bouche et il commençèrent à s'embrasser.

Le dreadé refusait de penser à ce qu'ils étaient en train de faire pour savourer uniquement ce moment et donner à Bill quelque chose de beau. En sentant la virilité de son frère contre sa cuisse cependant, il ne pur réprimer un mouvement de recule. Il aimait les femmes, il en était sûr, mais ne voulait pas faire souffrir son jumeau.

Ils avaient toujours été prêt à tout l'un pour l'autre.

Est-ce que cela était juste une preuve de plus pour se montrer qu'ils ne formaient depuis longtemps ? Esy-ce que cela était une façon de se rapprocher davantage de l'autre ? Est-ce que cela était la plus grosse erreur de leur vie ? Peut-être...

Bill : Désolé.
Tom : Ne le sois pas.

Tom avait décidé de ne pas se poser de question, alors il ne s'en posa pas en embrassant son frère de la plus délicieuse des manières... Avec amour. Peut-être pas le même amour, mais un amour plus que fusionnel, intense. Il ne se posa pas de question car il aimait embrasser Bill. Il aimait sentir sa langue caresser la sienne, sentir son piercing jouer dans sa bouche et ses dents mordre ses lèvres.

Il continua ses caresses dans son dos, mais inconsiemment les descendit plus bas qu'il ne l'avait jamais fait. Il caressa tendrement ses cuisses, remontant jusqu'à la limite de son boxer, faufilant même le bout des doigts sous le tissu. Il aimait ce goût qu'avait son frère, un goût d'interdit et un goût de plaisir.

Entre deux baisers, Bill réussit à demander à son frère d'arrêter. Entre deux gémissements, il parvint à repousser quelque peu son frère. Entre deux caresses, il ne put que se cambrer pour en quémander davantage.

Tom n'avait jamais fait une telle chose et sentir contre lui des pectoraux à la place d'une douce poitrine ne l'avait jamais tenté, sentir le sexe d'un homme contre le sien l'avait toujours répulsé... Il aimait ça. Il aimait les caresses de son frères, le parfum de son frère, les baisers de son frère et le le corps de son frère contre le sien lui procurait un plaisir étrange.

Il commençait à haleter dans la bouche de Bill, frottant lui-même son membre contre celui de son jumeau. Le brun ne réfléchissait plus non plus... Il en était parfaitement incapable. Le plaisir était tel que ni l'un ni l'autre n'aurait songé à se séparer à cet instant.

Tom se pencha un peu et se retrouva par dessus le brun. Il montrait la mesure et imposait son rythme, mais Bill ne pouvait qu'aprécier. Il remonta ses jambes pour que le blond vienne se blottir entre. Le contact était de plus en plus franc et les sensations de plus en plus plaisantes.

Les baisers n'en finissaient pas, aucun des deux ne voulant se séparer de la bouche de l'autre, aucun des deux ne voulant briser cet échange, aucun des deux ne souhaitant interrompre le désir qui montait.

Où cela les mêneraient-ils ?

Que faire de toutes ces questions à un tel moment ? Les mettre aux orties et les oublier... Juste profiter.

Tom passa ses mains sous le boxer et saisit les fesses du brun, rapprochant encore si possible leurs bassins.

Bill prit peur, complètement paniqué serait même plus juste. Tom s'était éloigné. Il s'était redressé et se trouvait à genou devant lui... Le brun eut le souffle coupé... Tom venait de lui retirer son caleçon d'un mouvement vif avant de plaquer de nouveau son corps contre le sien.

Le dreadé enroula ses doigts autour du sexe de son frère. Jamais il n'avait fait ça, enfin sur quelqu'un d'autre bien spur, mais il creuvait de sentir encore plus son frère. Il n'en avait pas assez.

Tom : Putain, qu'est-ce que tu m'as fait ? Qu'est-ce que tu me fait faire ?
Bill : Dé... Hm... Solé.
Tom : Ne le sois pas.

Les mouvements étaient rapides tout en restant doux. Bill se sentait déjà décoller. La peau de Tom contre la sienne, caresses de Tom sur son corps... C'était énorme, mais il en voulait plus.

Bill fit passer ses doigts sous l'élastique du boxer du blond et le fit descendre lentement, une dernière lueur de lucidité lui rappelait que peut-être son frère ne voulait pas ce qui arrivait, mais en l'absence de rejet, Bill lui ôta complètement et Tom s'en défit à l'aide ses jambes.

Ils gémirent pareillement en sentant leurs virilités nues l'une contre l'autre. C'était tellement bon. Ils ondulaient l'un contre l'autre, l'un sur l'autre, l'un sous l'autre, et dieu que c'était bon. Tom attrapa leurs deux membres et les caressa en même temps, finissant de leur procurer un plaisir auquel ils n'avaient jamais goûté, malgré le nombre certain de leurs partenaires respectif.

Bill : J'ai... Envie de... Toi Tom.
Tom : Non.
Bill : J'ten prie. Viens.
Tom : Non. Hum.

Bill, n'en pouvait plus. Il voulait son frère au plus profond de lui. Il voulait sentir son frère aller et venir en lui. Ses pensées étaient incohérentes, mais celles concernant ce qu'ils faisaient étaient bizarrement très claires... Ils se donnaient du plaisir. Ils s'aimaient d'une certaines façon. Ils s'aimaient de toutes les façons.

Bill : Pourquoi ?
Tom : Je veux pas... T'es mon frère... Je veux pas te... Faire mal.

Bill, à ces mots, ne pensa pas plus loin que ce que son désir lui dictait. Il donna un coup de hanche et se retrouva au dessus de son frère en un rien de temps. Tom était resté un peu con, ne s'entendant pas vraiment à ça.

Le brun crache dans sa paume et saisit le sexe de son jumeau pour l'y enduire.

Bill : Alors laisse moi me faire mal tout seul.

Le brun avait un sourire en coin de collé sur les lèvres et déjà il commençait à sentir la douleur d'une pénétration sans préparation, mais qu'importe, il savait que ça passerait vite et que, bientôt, le plaisir serait intense. Une légère grimace sur le visage et Tom qui le repoussait.

Tom : Arrête putain... Bill.

Le brun ne cessa pas jusqu'à ce que Tom soit entièrement en lui. Il rouvrit les yeux et sourit à son frère malgré la larme solitaire qui dévala sa joue. Après quelques secondes d'inactivité, Bill recommença à bouger, la douleur toujours présente, mais le sentiment tellement grand d'être heureux surpassant tout.

En quelques mouvements, Bill se retrouva totalement décontracté et bougeait maintenant de façon tout à fait perverse sur son frère... Et celui-ci adorait ça. Il avait rejeté la tête en arrière pour pouvoir avoir un semblant de contrôle sur son corps, mais le plaisir était si fort, qu'il ne pouvait s'empêcher d'accentuer les gestes de son jumeau par des à -coups toujours plus fort. Ses mains étaient plaquées sur ses hanches et insitait son double à venir à chaque fois un peu plus fort, un peu plus vite.

Tom replia les jambes et donna un coup de bassin et Bill hurla.

Bill : Han, refais !

Tom ne se le fit pas dire deux fois et reprit un rythme éffréné. Bill criait et haletait. Ses forces commençaient à l'abandonner, mais pour rien au monde il n'arrêterait. Il se sentait épuisé et tellement proche de l'orgasme.

Il en était de même pour le dreadé. Cet orgasme le charriait, il était là, mais ne déniait pas venir, le nargant et repoussant à chaque fois un peu plus la limite. Il en avait mal partout et tous ses muscles étaient tendus, mais il savait que la délivrance était proche.

Il enroula une nouvelle fois ses doigts autour du sexe humide et gonflé de Bill et imposa une cadence soutenue. Bill n'en pouvait plus. Il avait la bouche sèche a force de gémir et d'haleter, ses jambes le faisaient souffrir, mais cette torture était délicieuse.

Il se crispa d'un coup en sentant l'orgasme le terrasser, se cambrant en arrière et enfonçant ses ongles dans les cuisses du dreadé. Tom le suivit d'à peine quelques secondes dans un dernier mouvement. Bill se laissa reposer sur les jambes pliées de son frère et essayait de reprendre sa respiration. Le blond desserra ses doigts enfoncés dans la chair de Bill, laissant des traces visibles sur ses hanches.

Au bout de quelques instants, Bill se redressa et se retira de dessus son frère. Il s'allongea à côté de lui, pas vraiment sûr de savoir s'il pouvait venir se blottir dans ses bras ou non. Il angoissait. Il était paniqué.

Tom se retourna sur le côté et regarda son jumeau en souriant.

Tom : Bon anniversaire tit frère.

Bill sourit pour toute réponse. Cela ne se reproduirait peut-être jamais, peut-être ne connaitraient-ils plus jamais un tel moment de plaisir, mais au moins Tom ne regrettait pas, Tom ne lui en voulait pas et Tom l'aimait toujours... A sa manière.

FIN

bah si vas-y raconte moi 8D

oK lol

Merci beaucoup et crois moi je suis contente d'être la moi aussi lol

oK, bonne nuit et bon sport lol...

WOW!!!!

j'en ai marre de répêter toujours ce que les autres on dit avant, mais je le pense aussi!!!!

C'est le meilleur de tous celui là je crois!!!!!
déjà que les autres sont super!!!
mais celui là!
WOOOOOOW!

oui, le yaoi reprend le dessus!!!
YAOI POWA!!!!!!!!!!!!!!!!!!
=)

mais même l'hétéro était super!!
bravo!!!!
=)